Elles portent bien leur nom : on y foule des plages désertes tellement paradisiaques que l’on se prend à oublier le reste du monde.
Elles portent bien leur nom : on y foule des plages désertes tellement paradisiaques que l’on se prend à oublier le reste du monde.
Les Iles Vierges britanniques, presque inhabitées, sont des havres de tranquillité. De repaires de flibustiers qu’elles étaient au 17e siècle, elles se sont muées en refuges pour les yachts et les voiliers mais aussi pour les milliardaires. On ne compte plus les célébrités qui y ont acheté une propriété voire une île. Plus arides que les autres Antilles, leur relief accidenté masque des plages encore souvent intactes. Dans les villages, les toits rouges couvrent les cases dont les murs explosent en un foisonnement de couleurs vives. S’ajoute à cela un cachet typiquement britannique : cabines téléphoniques rouges, petits pubs tranquilles. Mais le bleu lagon des eaux rappelle qu’il ne faut pas quitter les îles Vierges sans un bain au paradis.